Autre


Les genres 

 

Avant de s'initier au manga, il ne faut pas oublié qu'il existe différents type de manga pour tous les genre. Ainsi vous éviterez les erreurs et trouverez le type de manga définit pour vous et qui vous conviendra peut être. Je ne vous expose seulement les quatre plus important à connaître.

Shojo : Cela veut dire jeune fille en japonais, et ce type et donc définit pour cette catégorie de personne. Les Shojo manga remplisse une grande majorité de manga dessiner dans le monde, et dont la sible de lecteurs sont avant tout des adolescentes . Mais tout dépends du choix des personne. 
Shonen : Cela signifie adolescent ou jeune garçon, et les Shonen manga vise des lecteurs adolescent. Ce type constitue un regroupement moins important que les Shojo manga, mais cependant il reste important.
Josei : Autre genre qui signifie jeune femme, et qui vise des adultes féminins. Ce genre constitue une des catégories les moins dessiné.
Seinen : Ce type est destiné au adulte masculin ou aux jeunes hommes, comme le désigne le mot dans sa langue original. Lui aussi constitue un genre assez lu, mais cependant moins important que les deux premier présenté, les Shojo manga et les Shonen manga.


Les suffixes


San (さん) :

C’est le plus neutre de tous ces suffixes, i.e. celui à utiliser si vous ne savez pas lequel choisir. On le traduit très souvent par Monsieur, Madame ou Mademoiselle mais il faut bien voir que ne considérer que cette possible traduction serait très réducteur (c’est ça qui est complexe). Ainsi, on utilisera san aussi bien pour parler à un inconnu, à un camarade de classe ou à un commerçant que pour se reférer à des animaux. Un enfant dira assez souvent tori-san (鳥 さん) pour parler d’un oiseau ou nezu-san (鼠 さん) pour une souris. Le suffixe san peut alors se retrouver derrière des termes très différents : à la fois des noms de famille, des prénoms, des surnoms ou pseudonymes, des professions (uriko-san (売子 さん) pour parler à un vendeur) ou des titres divers (shichô-san (市長 さん) pour parler à un maire).
C’est tellement neutre qu’on pourra même l’utiliser parfois derrière des noms de magasins ou même d’aliments.
On évitera cependant de l’utiliser vis à vis d’un supérieur hiérarchique quelconque ou bien dans des réunions formelles.

 

Han (はん) :

han est un équivalent de san utilisé dans le dialecte du Kansai, plus précisément dans la région de Kyôto.
Je rapelle au passage que la région du Kansai (Kansai-chihô) est une des régions les plus prospères du Japon qui contient notamment les villes de Kyôto, Ôsaka, Kôbe et Nara. Je ferai ptet un article là-dessus un jour pour ma catégorie culturelle.

 

Kun (君) :

On utilise généralement ce suffixe pour parler à un garçon plus jeune ou du même âge que nous-même. Cependant, dans certains contextes (à l’école, au sein d’une entreprise, … dans un contexte de camaraderie en somme) un homme (garçon) pourra l’utiliser pour s’adresser à une fille de son âge ou plus jeune que lui. Ce ne sera par contre normalement jamais utilisé entre deux femmes.
L’utilisation de kun est légèrement moins polie et moins neutre que pour san. On ne peut en revanche pas non plus considérer que ce soit le signe d’une grande affection (c’est entre les deux on va dire et ça le sera plus ou moins en fonction de la situation).

 

Chan (ちゃん) :

Au départ je crois que ce terme provient d’un problème de prononciation chez les très jeunes enfants. En effet, les petits japonais ont généralement du mal à prononcer les s correctement et les remplacent souvent par des ch. Du coup, chan est une déformation de san dans la bouche des enfants. Ce ne sera cependant pas uniquement utilisé par des enfants. En effet, un adulte l’utilisera également pour s’adresser à un jeune enfant et, par dérivation, ça a un certain côté « mignon » qui fait qu’on l’utilisera à la place de san pour le rendre plus affectueux. Il peut même arriver que ça se traduise par un mot du genre chéri(e) dans certains cas.
À noter que par la même occasion beaucoup de termes comme onïsan, obâsan, okâsan, ojïsan, ou otôsan y vont de leur dérivation également, toujours dans un sens plus affectueux (obâchan = mamie ou mémé par exemple alors que obâsan se traduira par grand-mère)

 

Chin / Tan (ちん / たん) :

Ces deux suffixes, assez peu utilisés, sont tous deux des déformations de chan et s’utilisent peu ou prou de la même façon.

 

Sama (様) :

Sama est un suffixe déjà beaucoup plus solennel. C’est une marque de profond respect qu’il est convenu d’utiliser lorsque l’on s’adresse à un supérieur quelconque. On placera donc sama derrière le nom d’un supérieur hiérarchique, derrière celui d’un nôble de haut rang, derrière celui d’un dieu ou d’une déesse mais on l’utilisera également pour parler à un client de son magasin ou pour s’adresser à quelqu’un à qui l’on voue une certaine admiration (chanteur, acteur ou artiste divers par exemple).
À noter également que l’on écrira sama dans les adresses postales et que ça se retrouve beaucoup dans les adresses emails utilisées dans le monde du travail.
Enfin, on peut également l’utiliser de façon arrogante en parlant de soi comme dans ore-sama (ore = je [pour un homme]).

 

Chama (ちゃま) :

Chama est à sama ce que chan est à san. On l’utilisera quasi exclusivement pour s’adresser à une personne âgée.

 

Senpai (parfois écrit sempai) / Kôhai (先輩 / 後輩) :

Un senpai est quelqu’un qui a plus d’expérience qu’un autre dans un certain domaine. Kôhai en est la réciproque (quelqu’un qui a moins d’expérience). La plupart du temps c’est utilisé dans un contexte scolaire (les élèves des classes supérieures sont alors vos senpai et ceux des classes inférieures sont vos kôhai) ou dans les clubs de sport (ça se joue alors en nombre d’années au club, ou plutôt en nombre d’années d’expérience dans le sport considéré). Mais on peut également élargir ça à n’importe quel autre domaine qui pourrait s’y prêter.
Lorsque l’on s’adresse à un senpai on précisera alors senpai derrière son nom au lieu d’utiliser san ou sama. Kôhai est plus rarement précisé et un senpai s’adressera à l’un de ses kôhai en utilisant kun ou chan par exemple. Le fait d’utiliser kôhai comme suffixe peut d’ailleurs être perçu comme de la condescendance voire même être très insultant.
À noter que les relations senpai/kohai dépendent du nombre d’années d’expérience dans un certain domaine et non de l’âge des personnes. Ainsi, si un japonais de 14 ans m’apprenait le Go, il serait alors mon senpai.
Précisons également qu’en cas de même ancienneté on parle alors de dohai.

 

Sensei (先生) :

Sensei se traduirait en français par docteur ou professeur. On englobe là-dedans tout ce qui est enseignants ou médecins, ainsi que toutes les personnes ayant un titre de Docteur ou de Professeur. On peut également s’en servir pour parler d’hommes politiques ou d’avocats et par extension on utilisera le terme sensei en s’adressant à n’importe qui ayant atteint un certain niveau de compétence dans un domaine précis (à ce niveau ça s’utilise un peu comme senpai mais en beaucoup plus fort). On pourra alors trouver ce suffixe derrière des noms d’écrivains, d’acteurs ou de chanteurs également.

Pour plus d'informations (source) : Japon infos.com


Le zodiaque japonais


Origine 

Vieux de plusieurs milénaire, le zodiaque sino-japonais attribue un signe (ou un animal) à chaque année par cycle de douze ans, ce qui serais l'équivalent des signe occidentaux chaque moi. Douze années est le temps effectuer par Jupiter pour faire sa révolution autour du soleil, point de référence des astrologues chinois et japonais. Chaque cycle de douze ans est consacré à un élément : eau, air, feu, métal, bois. Les japonais ont importer ce système vers le 7ème siècle et l'ont adapté en fonction de leur culture.

Deux cycle compose le système du zodiaque. Le grands cycle de dix (ou jikkan) et le petit cycle de douze (ou jyunishi). Mais le plus connu reste le petit cycle de douze (c'est deux cycle serve à la mesure du temps et des distances)

Les signes du zodiaque japonais et chinois diffère : Rat, bœuf,tigre, lapin (lièvre en Chine), dragon, serpent, cheval, mouton (chèvre en Chine). Le chat fut exclu par une ruse du rat, selon les légende.
A ne pas oublier ; les traditions japonaise et chinoise sont parfois similaire, mais il ne faut pas les confondre.
Deux légendes peuvent permettre d'expliquer l’ordre des animaux dans le cycle et pourquoi les japonais et chinois on choisi des animaux pour symboliser le zodiaque.  


Légende

Plusieurs variantes de la légende existe, expliquant ainsi l'absence du chat dans le zodiaque japonais et chinois :

  • Au dernier jour d'un cycle d'années, un Dieu (Bouddha souvent) cherchait comment nommer et différencier les années du cycle qui allait commencer. Alors lui vînt l'idée de convier tous les animaux à une fête sur une montagne, ajoutant que les douze premiers arrivés se verraient attribuer un titre d'invité d'honneur en plus de régner sur une année selon l'ordre d'arrivée.
    Les invitations parvinrent à tous les animaux le même jour et chacun commença à réfléchir à un moyen pour arriver en premier.
    Le chat, étant très paresseux, ne prit même pas la peine d'ouvrir lui-même la lettre. Il demanda alors à son voisin le rat de lui expliquer de quoi il était question. Le rat très rusé, vit là le moyen de tromper le chat et lui dit alors que la fête aurait lieu le surlendemain.
    Le boeuf quand à lui, connaissant sa lenteur, partit dès minuit sans se rendre compte que le rat, qui avait deviné son intention, était perché sur son dos. Il gravit alors la montagne à son rythme mais non sans peine. A quelques pas du sommet, il fut rejoint par les autres animaux.
    Arrivé devant le Dieu, le bœuf qui était persuadé d'être arrivé le premier, s'apprêtait à le saluer lorsqu'une petite voix se fit entendre : « Bonjour ô Dieu, je te souhaite une bonne année » furent les mots prononcés par le rat qui bondit de son perchoir et arriva devant le boeuf. Le rongeur se retrouva alors le premier arrivé. Le bœuf était furieux mais s'apaisa car après tout il était le deuxième.
    Par la suite arrivèrent le tigre, le lapin, le dragon, le serpent, le cheval, le mouton, le singe, le coq, le chien et le sanglier. Les douze ainsi réunis firent une grande fête avec le dieu.
    Le lendemain, le chat se mit en route pour la montagne mais arrivé au sommet il se rendit compte qu'il avait été dupé.
    Il fut ainsi puni de sa paresse.
  • Tous les animaux étaient réunis autour de la dépouille de Bouddha. Le chat tua alors un rat qui léchait l'huile d'une lampe. Pour le punir de ce crime, le chat fut banni.

Deux légendes peuvent permettre d'expliquer l’ordre des animaux dans le cycle et pourquoi les japonais et chinois on choisi des animaux pour symboliser le zodiaque.
  • Bouddha convia tous les animaux avant de quitter la Terre mais seuls douze d'entre eux répondirent à l'appel et furent donc récompensés d'une année selon leur ordre d'arrivée.
  • les dieux chinois décidèrent d'un concours pour déterminer l'ordre. Les douze animaux, furent alignés sur le bord d'une rivière et eurent pour tâche de rejoindre l'autre rivage. Ainsi leur ordre d'arrivée au rivage serait leur ordre dans le calendrier.
    Le bœuf était le plus rapide mais le rat avait sauté sur son dos, alors quand le bœuf arriva sur la terre, le rat sauta à terre et termina la course le premier. Le cochon paresseux fut le dernier.  
     
Source de l'image : "Fruits basket"

Source de l'image : "Fruits basket"

 

Les signes

Comme pour l’horoscope occidental, les natifs de chaque signes sont censés être doté d'un caractère propre à leur animal du zodiaque. Voici les signes :  

Rat (nezumi) : 1900, 1912, 1924, 1936, 1948,  1960, 1972, 1984, 1996.
Charmants, honnêtes, ambitieux et déterminés, telles sont les grandes qualités des natifs du rat. Ils se mettent facilement en colère mais n'en laisse rien  paraître.
 
Boeuf (ushi) : 1901, 1913, 1925, 1937, 1949, 1961, 1973, 1985, 1997.
Les natifs du bœuf  sont vifs d'esprit, patients et excellents orateurs. Ils inspirent confiance aux autres et ceci est la clé de leur succès.
 
Tigre (tora) : 1902, 1914, 1926, 1938, 1950, 1962, 1974, 1986, 1998.
Les qualités du tigre sont sa sensibilité, son courage. Ce sont aussi de grands penseurs qui donnent beaucoup d'affection à ceux qu'ils apprécient. Mais ils sont aussi impatients, égoïstes voire malveillants.
 
Lapin (usagi) : 1903, 1915, 1927, 1939, 1951, 1963, 1975, 1987,1999.
C'est les plus chanceux. Ils sont talentueux, ambitieux, vertueux, réservés et agréables à écouter. Ils ont beau goût et inspirent respect et admiration.
 
Dragon (tatsu) : 1904, 1916, 1928, 1940, 1952, 1964, 1976, 1988, 2000.
Dynamiques, impatients, obstinés. Ont une bonne santé et l'enthousiasme facile. Honnêtes, sensibles, courageux et s'attirent la confiance de tous.
 
Serpent (hebi) : 1905, 1917, 1929, 1941, 1953, 1965, 1977, 1989, 2001.
Grands penseurs, peu bavards mais sages. Heureux en affaires d'argent et réussiront toujours à en trouver.
 
Cheval (uma) : 1906, 1918, 1930, 1942, 1954, 1966, 1978, 1990, 2002.
Ils sont doués pour la flatterie, bavards, rapides d'esprit, réfléchis et dotés d'un grand sens de la finance. Mais ils sont aussi impatients et susceptibles.
 
Mouton (hitsuji) : 1907, 1919, 1931, 1943, 1955, 1967, 1979, 1991, 2003.
Elégants, doués pour les arts, passionnés de nature. Ils vouent une foi toute religieuse et une grande passion à tous ce qu'ils font.
 
Singe (saru) : 1908, 1920, 1932, 1944, 1956, 1968, 1980, 1992, 2004.
Ils sont intelligents et habiles dans les grandes opérations et les finances. Ils sont inventifs, originaux et trouvent facilement les solutions aux problèmes.
Coq (tori) : 1909, 1921, 1933, 1945, 1957, 1969, 1981, 1993, 2005.
Sont des penseurs dévoués à leur travail. Ils veulent toujours en faire plus qu'ils ne peuvent et ressentent une profonde déception s'ils entreprennent une chose qu'ils sont incapables d'accomplir. Ils disent franchement ce qu'ils pensent.
 
Chien (inu) : 1910, 1922, 1934, 1946, 1958, 1970, 1982, 1994, 2006.
Ils possèdent tous les bons côtés de la nature humaine : sens du devoir, loyauté, honnêteté et s'investissent de leur mieux dans leurs relations sociales. Ils inspirent confiance et savent garder les secrets.
 
Sanglier (inoshishi) : 1911, 1923, 1935, 1947, 1959, 1971, 1983, 1995, 2007.
Courageux et dotés d'une grande force intérieure. Ils sont honnêtes, se fâchent pour un rien même s'ils détestent les disputes. Ils sont aussi affectueux et gentil envers ceux qu'ils aiment.


Pour plus d'informations (source) : Team asian dream

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